Winter im Schwarzwald : Triberg

Toujours pas de neige ici, mais la météo en annonce pour mercredi... Juste histoire de bien geler la route et encombrer le chemin pour le déménagement vendredi et samedi, bien sûr ! Mais le semestre touche bientôt à sa fin, derniers exams et travaux à rendre jusqu'à la mi-décembre, plus faire les cartons, c'est vraiment le rush... Mais après ça, retour en Alsace. En attendant, et puisque la neige se fait désirer, voilà une petite vidéo hivernale pour l'ambiance. Chutes du Triberg, en Forêt Noire, en ce froid 30 janvier 2011. Presque deux ans ! Il était temps que ces photos trouvent leur chemin jusqu'ici...

PS : j'utilise une vidéo car mon espace gratuit de stockage de photos pour ce blog  mes blogs, vu qu'ils sont tous sur blogspot, est désormais rempli.... Fallait bien que ça arrive un jour...

EDIT : Problème résolu, du coup, quelques photos en bonus, parce que ce coin de Forêt Noire mérite le détour :

La puissance de ces chutes - les plus hautes d'Allemagne - malgré la glace est impressionnante. La glace forme de véritables colonnes, commes des racines gelés dépassant des rochers tandis que les arbres montent à l'assaut du ciel hivernal.

Le choc de l'eau, le vacarme de la chute et le froid irradié par la chute rend le spectacle encore plus envoûtant.

La plateforme destinée à permettre une observation optimale du site sans l'abîmer (entendez sans que les idiots crapahutent partout sans se soucier de leur impact...). Le froid l'avait naturellement complètement givrée...

Le grondement des chutes se transforme en chant de casque alors que la rivière continue son chemin entre les rochers couverts de neige... En était, cette blancheur est d'une verdure tout aussi éclatante. C'est aussi ce qui fait la magie du site : Ses multiples facettes.

J'adore observer comme l'eau gelée et le courant toujours en mouvement créent cette œuvre éphémère sur chaque rocher, chaque souche...

 Un jour j'aurais peut-être l'occasion de vous parler un peu plus de la ville de Triberg et plus particulièrement de son groupe folklorique de Fastnacht, en attendant, je vous laisse au murmure de ses cascades et au tonnerre de ses chutes.